lundi 29 novembre 2010

Soleil et vent, écho aux récits monosyllabiques

Camille Bryen et Jacques Villeglé

Cette série de 10 œuvres (sur 100) s'apparente aux récits monosyllabiques tels que les définissent Camille Bryen et Bernard Gheerbrant dans « L’anthologie de la poésie naturelle » (Paris, K éditeur, 1949). Ce texte est le premier manifeste d’une généralisation de la poésie à l’ensemble des expressions du langage et hors-langage.  « La poésie se doit de plus en plus de se mêler à la vie. La radio, le cinéma, le disque, ont déjà montrés qu’elle s’est échappée de la forme conformiste du livre. »