Camille Bryen et Jacques Villeglé |
Cette série de 10 œuvres (sur 100) s'apparente aux récits monosyllabiques tels que les définissent Camille Bryen et Bernard Gheerbrant dans « L’anthologie de la poésie naturelle » (Paris, K éditeur, 1949). Ce texte est le premier manifeste d’une généralisation de la poésie à l’ensemble des expressions du langage et hors-langage. « La poésie se doit de plus en plus de se mêler à la vie. La radio, le cinéma, le disque, ont déjà montrés qu’elle s’est échappée de la forme conformiste du livre. »